En novembre 2024, c’est la marque Magnani qui sera mise à l’honneur dans une vitrine sur le site Internet du Géant des Beaux-Arts. Parmi les différents papiers proposés se démarque le papier Firenze idéal pour l‘acrylique et les techniques humides. Notre artiste partenaire, Cynthia Dormeyer, adore tester de nouvelles choses et utiliser une multitude de techniques, elle a donc testé ce papier dans ce banc d’essai.
J’ai pour habitude d’utiliser des supports et papiers lisses. Je pensais avoir plus de difficultés en créant sur un papier avec un grain prononcé comme celui-ci. A ma surprise, j’ai trouvé très simple
de créer dessus.
L’utilisation de la peinture acrylique Blockx sur ce support est agréable. Pour un trait net, passez plusieurs fois ou passez de la peinture un peu diluée. Ce papier est conçu pour l’acrylique. Je le trouve résistant. J’ai ajouté un certain nombre de couches de peinture, et j’ai obtenu un léger gondolement lorsque j’ai commencé à mettre plus d’eau, donc attention à la quantité d’eau. Le grain du papier ressort pour un rendu texturé, une fois la peinture appliquée, mais ne gêne pas son application. Je la trouve facile à utiliser avec la possibilité de réaliser des traits nets au pinceau. Pour un rendu plus texturé dans vos tracés, utilisez un pinceau sec, avec une peinture peu diluée.
Habituée aux pinceaux brosses et aux gestes vifs, j’ai découvert une nouvelle façon de créer, plus en détente, avec les diverses formes des pinceaux KUM. J’ai utilisé un peu de critérium pour effectuer quelques traits finaux, mais je n’en ai eu besoin que de très peu. Les acryliques Blockx sont lumineuses, et les couleurs nacrées intenses. Par ailleurs, le nacré garde sa propriété une fois mélangé à une autre couleur.
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