Article mis à jour le 06/03/2024.
Au-delà d’une relation commerciale fiable, nous attachons une très grande importance à une collaboration humaine et bienveillante. C’est pourquoi nous sommes partenaire à long terme lors des manifestations artistiques (salons, expositions, concours, ateliers…), en apportant notre soutien tant en matériel, cadeaux de bienvenue qu’en communication.
Fort de plus de 20 ans d’engagement auprès des associations artistiques, il nous a été tout logique de créer le Prix du Géant des Beaux-Arts pour permettre la mise en exergue des artistes primés mais aussi pour saluer le travail accompli par les associations organisatrices de manifestations artistiques.
Prix 2023
Vous participez ou avez participé à un concours ou à une exposition artistique partenaire du Géant des Beaux-Arts entre le 1er juillet 2022 et le 31 août 2023 ? Vous avez remporté un prix lors de cette manifestation ? Demandez à l’association de nous envoyer un visuel et un descriptif de votre œuvre sur : prix2024@geant-beaux-arts.fr
Le Prix du Géant des Beaux-Arts englobe les évènements organisés du 1er juillet 2023 au 31 août 2024. Ouvert à toutes les associations artistiques partenaires du Géant des Beaux-Arts organisatrices d’évènements, expositions, concours, et à tous leurs primés. La sélection des trois lauréats sera effectuée par un Jury prestigieux, dont le choix sera souverain!
BERNARD POISOT PREMIER PRIX LE GEANT DES BEAUX-ARTS
Né en Côte d’Or en1939 il se lance à 20 ans dans la peinture à l’huile , apprend seul la technique et arrive rapidement à la dominer. Il adore alors les impressionnistes et réalise surtout des paysages. Il se rattache ensuite au mouvement hyperréaliste et du trompe-l’œil créé en réaction contre la peinture abstraite d’avant-garde depuis la guerre. Fasciné par la lumière, il joue avec “les glacis superposés”. Spécialiste de la transparence du verre et du cristal, les reflets et les brillances le passionnent. Sa peinture est optimiste, elle chante les plaisirs des bonnes choses; Bernard POISOT est un peintre “Hédoniste”.
ULADZIMIR ANISHCHANKA SECOND PRIX LE GEANT DES BEAUX-ART 2023
Pour Uladzimir ANISHCHANKA, la nature n’est pas faite d’impressions, elle est faite de détails. Elle est aussi un corps vivant. Chaque détail permet de magnifier cette nature, de la mettre en valeur dans l’abondance d’éléments tels que les feuilles, les branches, les mousses, les cailloux… Il ne peint que les paysages qu’il a vus lui-même. Souhaitant partager l’incroyable beauté de la nature avec le spectateur, il veut atteindre une plus grande force de persuasion, en apportant parfois quelques modifications sur la toile.
ANNE -SOPHIE LOUP TROISIEME PRIX LE GEANT DES BEAUX-ARTS 2023
Depuis toujours passionnée par l’art du portrait, je veille à la mise en lumière des personnages féminins. En explorant diverses techniques, j’ai développé un goût pour l’apparence du textile et les nuances subtiles de la peau à la peinture à l’huile. Mon univers artistique est empreint de douce mélancolie, inspiré par les contes et légendes, la peinture préraphaélite ou encore les vitraux du Moyen Âge.
Prix 2022
DANY DENIS, 1ER PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2022
La pratique du dessin remonte à mon enfance. La rencontre du peintre Émile Gautier au Croisie à l’âge de 14 ans m’a beaucoup marqué. J’ai gardé en mémoire ses aquarelles du Marais de Brière et des Salines de Guérande. Aimant le travail du bois mon choix professionnel s’est orienté vers le métier d’ébéniste, étudiant d’abord à Auray dans le Morbihan puis à l’école Boulle à Paris où les enseignements artistiques ont renforcé mon goût pour le dessin et la peinture.
JEAN-MARIE BONO, SECOND PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2022
Cet artiste s’exprime à travers le dessin, le lavis ou l’aquarelle. Il aime rendre l’aspect fugace et mouvant des jeux de lumière sur l’eau mais aussi les stigmates du temps sur les bateaux de pêche ou les vieux tracteurs. Il est inspiré par les paysages de Provence, les marines et les chevaux de Camargue qu’il représente au moyen de couleurs chaudes et contrastées.
SOPHIE JOUAN, TROISIEME PRIX LE GÉANT DES BEAUX ARTS 2022
Diplômée de l’école des Beaux- Arts de Versailles en 1996 – section sculpture. Depuis plus de 15 ans, son travail de sculpteur porte essentiellement sur l’expression corporelle. Elle recherche perpétuellement à figer un moment éphémère, à évoquer la furtivité d’un instant. Créer le corps de l’intérieur, souder l’armature, accumuler la matière par couches successives et associer le fil de fer, la pâte à papier, où la patine vient se poser comme une peau. Elle assemble, soude, sculpte, casse, colmate, cherche encore, perd pied, puis retrouve la trace, un court instant, d’une émotion transparente mais existante.
Prix 2021
SANDRINE BIES, 1ER PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2021
Depuis 2019, mon travail s’oriente essentiellement sur l’humain et plus récemment sur les portraits d’enfants ou de personnes âgées. Les uns pour l’innocence, la spontanéité, l’émerveillement, les autres pour le vécu, l’expérience, la sagesse. J’aime à déceler l’émotion derrière un regard. Figer sur la toile l’expression d’un instant. M’interroger sur la nature des sentiments humains. Le choix du noir et blanc me permet d’obtenir les plus extrêmes contrastes, des volumes parfaitement marqués par les jeux d’ombres et de lumières. C’est pour moi un véritable parallèle avec ce que l’humain porte en lui, une part d’obscurité et de clarté. Je reviens parfois vers quelques œuvres colorées, toujours des portraits, mais plutôt inspirés par la bande dessinée, dont je lui emprunte le travail du trait, des gros plans, des angles de vue… mon travail s’étoffe petit à petit et j’envisage d’y intégrer des mots… Raconte-moi une histoire.
HÉLÈNE RAYNAL, SECOND PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2021
Vingt années de pratique et de recherche, en passant par l’art du raku et celle de la porcelaine pour voir évoluer le geste. Cela fait dix ans qu’Hélène Raynal pratique cette technique et celle-ci découle d’une volonté première : traduire sur l’objet l’illusion de l’encre calligraphiée sur le papier. Pour ce faire, pour conserver l’exactitude du trait calligraphié, pas moins de trois cuissons sont nécessaires. On les identifiera ici dans le thème de l’objet, puis de l’émaillage et enfin dans celui du trait.
Antonin Aliès, écrivain
OLENA DUCHENE, TROISIEME PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2021
L’artiste Olena Duchene est née et a grandi dans la ville ukrainienne de Dnepropetrovsk, à une époque où les interdictions étaient nombreuses. Aujourd’hui, à chaque nouveau jour de sa vie, elle devient plus libre. En 2012, elle s’est mariée et a déménagé en France. Ses belles peintures florales varient entre l’aquarelle et les pastels. Ses traits sont simples, délicieux et rêveurs. Olena s’est vue décerner le Prix du “Coup de Cœur de la ville de Feytiat / Pastels Girault” lors du 20ème Salon International du Pastel de Feytiat.
Prix 2020
HERVÉ BOURDIN, 1ER PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2020
Bourdin ne peint pas, il est le non-lieu de la peinture, Bourdin dessine sur des petits et grands carnets de couverture noire. Bourdin graphite de son feutre, en réunion, sur un banc, dans un lit, il entasse des personnages. Leurs profils souvent cachent l’inquiétude. Nichés dans des perspectives urbaines de béton, ou de végétation débordante, les humains, souvent entourés de chiens et de chats, vivent, passent, s’invectivent, s’effleurent, s’époumonent, s’aiment parfois alanguis de bons sentiments. Plus tard, dans l’atelier quand il a fi ni ses gammes de dessins enchevêtrés, il trace sur la toile, la composition s’établit et commence le travail du pinceau. La couleur s’étale, disciplinée, mat, propre et sans bavure puis bien ranger dans ses compartiments étanches elle se cerne d’un trait noir agressif. La page de couleur est close. L’histoire des hommes, elle, n’est qu’un passage, un devenir, peut être une fuite…
Grohan-Lépine
ALEXIS LE BORGNE, SECOND PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2020
Partage, découverte, rencontres, remise en cause, humilité et passion sont les piliers qui fondent ma déontologie. Aujourd’hui artiste peintre, illustrateur et designer graphiste, je continue de naviguer sur le long fleuve des arts entre aquarelle, pastel, huile ou encore acrylique et numérique.
GEORGES DUMAS, TROISIEME PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2020
Georges Dumas crée depuis 10 ans des œuvres en technique mixte qu’il nomme paintographies. Il s’agit de tableaux réalisés sur toile mêlant photographie, composition numérique et glacis acryliques.
Prix 2019
MICHEL LE DEROFF, 1ER PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2019
Lauréat du Salon de la Marine en 2007, il peint des bateaux et des scènes de bords de mer pendant 15 ans. En changeant de sujets Michel Le Deroff en a profité pour changer de médium. Il continue à peindre à l’acrylique mais a ajouté l’aquarelle et la gravure à ses travaux depuis 5 ans. Michel Le Deroff alterne toujours sorties sur le motif l’été – ce qui lui permet de retrouver des amis –, et peinture à l’atelier l’hiver.
SOPHIE PATRY, SECOND PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2019
J’expérimente, je teste… C’est souvent un moteur incroyablement efficace pour me faire avancer. Je travaille en mouvement ce qui me procure des effets directs à la prise de vue… Je me laisse guider par mon ressenti et mes émotions. Mon travail est à l’image de ma perception du monde. Des paysages, des silhouettes et des autoportraits qui oscillent entre rêve et réalité, laissant libre cours à l’imagination de chacun.
SYLVIE HERZOG, TROISIEME PRIX LE GÉANT DES BEAUX-ARTS 2019
Sylvie Herzog peint des couleurs vives, lustrées et gourmandes avec beaucoup de fluidité et de brillance. La matière qui enrobe ses sujets semble toujours humide, luisante et donne beaucoup de sensualité, de rondeur et de volupté à ses toiles. Ses toiles nous donnent envie de regarder, toucher et sentir la réalité autrement, plus attentivement et plus intensément. Parce qu’elle fait miroiter la lumière et flamboyer les couleurs, sa peinture est une belle leçon de vie et d’appréciation de la vie, simple évidente et positive qui s’offre chaque jour sous nos yeux.
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